Lorsque nous nous rencontrerons pour la première fois, nous évaluerons ensemble votre demande et examinerons comment je peux vous accompagner pour la traiter. Nous conclurons ensemble un contrat concernant le tarif des séances, la durée initiale de notre travail et sur nos engagements respectifs, dont la déontologie qui préside à mon travail.
Extraits du Code de déontologie de la SFPI auquel je me réfère :
- art. 1.1 But de la Psychanalyse Intégrative
La Psychanalyse Intégrative a pour but de conduire un processus psychothérapeutique visant à diminuer la souffrance du patient, à rétablir sa santé psychique et à favoriser son autonomie et son épanouissement.
- art. 2.1 Un fondement : la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
L’éthique du psychanalyste intégratif se réfère aux principes généraux et valeurs de la déclaration universelle des droits de l’homme, particulièrement en termes de dignité, liberté, protection.
- art 2.5 Formation initiale et continue
Le psychanalyste intégratif a lui-même effectué un travail personnel intégrant plusieurs approches psychanalytiques et psychothérapeutiques.
La formation est un élément essentiel à l’exercice professionnel de la Psychanalyse Intégrative et ce, durant toute la durée de la pratique professionnelle. Au terme de son cursus de formation initiale, le psychanalyste intégratif reprendra à son propre compte l’exigence de poursuite de la formation.
- art. 3.7 Secret professionnel
Le psychanalyste intégratif s’engage à préserver l’anonymat du patient, nécessaire à la relation de confiance, et à sauvegarder le caractère intime de la relation transférentielle.
Cette exigence de secret est à maintenir au-delà de la mort du patient comme du psychanalyste. Ce dernier doit notamment prévoir le devenir de ses notes personnelles.
La règle du secret professionnel s’exerce dans le respect de la Loi.